Bonjour camarades chercheuses et chercheurs! Vos pairs vous considèrent-ils comme la référence en ce qui concerne les dernières nouveautés dans l’industrie? Êtes-vous le « génie des chiffres » ou le « Google humain » selon vos collègues? Si c’est le cas, vous devez, en ce moment, être à l’affût des principales avancées technologiques auxquelles votre organisation devrait s’intéresser en 2024. Que ce soit pour conserver votre place en tête du peloton, vous assurer de bien orienter vos clients ou attirer les meilleurs talents, lancez-vous avec moi à la découverte des nouvelles tendances.
Bonjour camarades chercheuses et chercheurs! Vos pairs vous considèrent-ils comme la référence en ce qui concerne les dernières nouveautés dans l’industrie? Êtes-vous le « génie des chiffres » ou le « Google humain » selon vos collègues? Si c’est le cas, vous devez, en ce moment, être à l’affût des principales avancées technologiques auxquelles votre organisation devrait s’intéresser en 2024. Que ce soit pour conserver votre place en tête du peloton, vous assurer de bien orienter vos clients ou attirer les meilleurs talents, lancez-vous avec moi à la découverte des nouvelles tendances.
Plongeons dans le vif du sujet et découvrons ce que 2024 nous réserve.
L’intelligence artificielle (IA) est-elle un phénomène passager?
Si un cent nous avait été versé chaque fois que nous avons parlé d’IA, nous serions tous richissimes! Si les grandes entreprises technologiques comme Amazon, Meta et Tesla s’intéressent de près à l’intelligence artificielle, bien d’autres entreprises, toutes tailles confondues, commencent seulement à en découvrir les avantages. Or, ces premiers pas ouvrent la voie à un développement encore plus poussé de l’IA.
Un rapport de Gartner prévoit que les dépenses mondiales en TI en 2024* devraient augmenter de 8 %, mais que cette hausse ne découlera pas d’investissements directs en IA. Le rapport prédit également qu’il n’y aura pas non plus de grandes dépenses pour le développement de l’IA en 2025. L’accent sera plutôt mis sur l’utilisation de l’IA et de l’automatisation pour améliorer l’efficacité au travail et contrebalancer indirectement le manque de personnel en TI, grâce à des solutions intégrées et complémentaires.
IDC* prédit que d’ici 2026, 25 % des organisations du G2000 créeront un poste de responsable de l’IA à la haute direction. On peut donc présumer que l’IA est là pour de bon et que la meilleure façon d’y faire face, c’est de l’adopter.
Si votre organisation est de celles qui n’investiront pas directement dans l’IA en 2024 et 2025, il vaudrait la peine d’explorer les avantages des périphériques comme Microsoft Copilot – un outil de productivité IA capable de traiter les données comme jamais auparavant. Il peut, par exemple, transformer vos notes griffonnées en un plan d’affaires ou votre plan d’affaires verbeux en une présentation PowerPoint épurée. Même vos statistiques de ventes mensuelles enfouies dans un courriel peuvent être transformées en un rapport soigné. Les possibilités des outils optimisés par l’IA, comme Microsoft Copilot, sont pratiquement infinies.
Une autre façon de vous préparer à l’ère de l’IA est d’établir des limites claires, comme vous le feriez pour n’importe quelle nouvelle relation. Encadrez son utilisation et son intégration dans votre organisation. Le degré d’acceptation de l’IA dépendra de la culture de votre entreprise et c’est normal. Il n’y a pas de solution universelle. La clé, c’est de fixer des limites claires et de les communiquer à tous les membres de l’organisation. Ainsi, tout le monde sera sur la même longueur d’onde quant au rôle de l’IA dans son travail.
Informatique décisionnelle (ID) – Le véritable superpouvoir de l’IA
L’informatique décisionnelle (ID) s’avérera également essentielle à mesure que les entreprises poursuivront leur transformation numérique. Pourquoi? Parce que la combinaison de nouvelles technologies et de conclusions fondées sur des données n’est pas une tendance passagère; c’est une nécessité pour les entreprises tentant de prendre des décisions éclairées qui donneront des résultats prévisibles dans un monde des affaires en constante évolution.
Examinons la question de plus près. Une organisation se compose de personnel, de processus et de technologies, les données étant au cœur de ces trois éléments. On peut facilement supposer que les décisions fondées sur les données augmentent la probabilité qu’elles se révèlent avantageuses. Cependant, si les données ne sont pas recueillies, séparées, analysées et interprétées comme il se doit, ce ne sont que des chiffres. C’est là que l’informatique décisionnelle basée sur l’IA change la donne.
L’ID peut traiter un grand volume de données pour découvrir des indications cachées, augmenter la visibilité et aider les entreprises à prendre de meilleures décisions à la vitesse de l’éclair.
Qu’est-ce qu’un algorithme? Un algorithme est un ensemble d’instructions qui indique à un ordinateur ou à une personne comment résoudre un problème ou faire des calculs. Les gens utilisent des algorithmes pour les aider à calculer et à trier les informations. On peut voir un algorithme comme une formule mathématique permettant de générer des résultats précis. |
Comment l’ID fonctionne-t-elle et permet-elle une prise de décision éclairée?
Pour expliquer les choses simplement, disons que les outils d’ID optimisés par l’intelligence artificielle sont comme des robots qui effectuent des tâches fastidieuses pour les gens qui veulent étudier les données. Ces outils préparent les données, les épurent et les analysent à l’aide d’algorithmes. Ainsi, les personnes appelées à examiner les données peuvent consacrer plus de temps à des activités importantes, comme interpréter les données et en tirer des conclusions stratégiques. Plus ces outils traitent de données, meilleurs ils sont à en faire l’analyse.
Bien que l’IA fasse certainement partie intégrante de l’informatique décisionnelle, il est important de se rappeler qu’aucun algorithme ne remplace le discernement ou l’expérience. C’est pourquoi l’IA a besoin d’une perspective humaine pour que le processus décisionnel soit efficace. Toute organisation qui envisage de remplacer l’intelligence humaine et sa capacité à prendre des décisions par une solution d’ID est vouée à l’échec, car les décisions ne reposent pas toutes uniquement sur des données quantifiables. Alors, en 2024 et dans l’avenir, c’est le recours équilibré à l’intelligence humaine et à l’informatique décisionnelle qui départagera les organisations prospères de celles qui ne parviennent pas à exploiter pleinement leurs données.
Nouveau visage de la cybersécurité en 2024
Aujourd’hui, avec l’évolution de l’IA et la transformation constante du paysage technologique, l’augmentation des cybermenaces est inévitable. Selon Cybersecurity Ventures*, le coût de la cybercriminalité à l’échelle mondiale atteindra 9,5 billions de dollars américains en 2024. D’où vient cet argent? De notre porte-monnaie sous différentes formes : la hausse du coût des cyberassurances, nos impôts en cas d’attaques sur les organismes publics, la précarité de l’emploi si notre employeur doit supprimer des postes, la fermeture d’entreprise à la suite d’une cyberattaque.
Alors, quelle est la meilleure façon de se protéger des cyberattaques en 2024?
J’ai obtenu quelques recommandations des experts en cybersécurité de Konica Minolta sur les mesures à prendre pour se protéger des acteurs malveillants. Selon eux, voici les six principaux aspects auxquels les entreprises de toute taille devront s’intéresser davantage en 2024 :
- Sécurité à vérification systématique
- Resserrement de la collaboration entre les responsables de la sécurité et les PDG d’entreprises
- Adoption d’outils de détection proactive des menaces
- Produits technologiques sécurisés dès la conception
- Sécurité infonuagique
- Primes d’assurance et modification de la façon dont la police est souscrite
- Sécurité à vérification systématique
La sécurité à vérification systématique est un concept qui se matérialisera en 2024. Dans cette approche, chaque utilisateur et appareil est authentifié avant que l’accès au réseau de l’organisation soit accordé. Les mesures de sécurité défensives telles que l’authentification multifacteur, basées sur des méthodes comme la reconnaissance faciale et les empreintes digitales, se généraliseront en 2024, améliorant ainsi la protection de votre système.
- Resserrement de la collaboration entre les responsables de la sécurité et les PDG d’entreprises
En 2024, les PDG peuvent s’attendre à passer plus de temps que jamais avec les responsables de la sécurité ou de la sécurité de l’information de leur entreprise. Les discussions risquent de porter sur des sujets importants tels que les budgets de sécurité et la façon dont la sécurité matérielle ou organisationnelle est liée à la cybersécurité, notamment en raison de l’utilisation accrue de l’IA qui pourrait amplifier le problème de l’usurpation d’identité.
Pour qu’elle puisse donner des résultats concrets et mesurables, la conversation entre le PDG et son responsable de la sécurité devrait porter sur la réalisation d’une évaluation* des risques approfondie et la mise en œuvre des changements proposés. La mobilisation d’autres parties prenantes devrait aussi constituer une priorité, notamment en leur offrant une visibilité dans les activités continues de sécurité. Cela permet non seulement de promouvoir une culture de transparence, mais également de s’assurer que la sécurité demeure une priorité absolue pour l’ensemble de l’organisation.
- Produits technologiques sécurisés dès la conception
Les autorités gouvernementales internationales telles que la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA), la National Security Agency (NSA), le Federal Bureau of Investigation (FBI), le Centre canadien pour la cybersécurité (CCCS), le National Security Center UK (NCSC-UK) et d’autres partenaires implorent les géants du logiciel d’appliquer à leurs produits les principes de la sécurisation dès la conception et par défaut.
La sécurisation dès la conception implique que le fabricant considère la sécurité du client comme une exigence et non comme une simple commodité technique. Les experts de la sécurisation par défaut conseillent aux fabricants d’éliminer les mots de passe par défaut, d’instaurer l’authentification unique, d’offrir une connexion sécurisée et de prioriser la sécurité plutôt que la rétrocompatibilité. Il en résultera une responsabilité partagée entre le client et le fabricant à l’égard de la sécurité, et des produits plus sûrs dès leur sortie de l’emballage.
- Adoption d’outils de détection proactive des menaces
L’automatisation optimisée par l’IA, comme les services gérés de détection et d’intervention aux terminaux, aide les professionnels de la sécurité qui sont déjà à bout de souffle, en gérant de nombreuses tâches manuelles de cybersécurité et en permettant ainsi à l’être humain de se concentrer sur des activités plus importantes et stratégiques. Les outils comme les services gérés de détection et d’intervention aux terminaux contrebalancent le manque de personnel et allègent la charge de travail des spécialistes de la sécurité.
- Harmoniser la sécurité infonuagique avec votre plan d’adoption du nuage pour 2024
Les entreprises vont continuer à transférer leurs services et leurs systèmes vers le nuage en raison de son efficacité, de son prix abordable et de sa facilité d’accès. C’est pourquoi la sécurité infonuagique gagnera en importance. Quelle que soit leur sphère d’activité ou leur taille, les organisations doivent accorder une attention particulière à des enjeux comme le stockage sécurisé et la confidentialité des données ainsi que la gestion des identités et des accès. Celles qui ne se préoccuperont pas de la sécurité infonuagique seront victimes de brèches qui entacheront leur réputation.
- Cyberassurance
La cyberassurance pousse les entreprises de toute taille à se pencher sur la cybersécurité en raison de l’augmentation après la pandémie de la cybercriminalité, qui a fait un bond de 600 %. Ce changement s’est produit rapidement, les compagnies d’assurance faisant face à une hausse considérable des réclamations liées aux cyberattaques. Pour tirer le meilleur parti de votre cyberassurance, il suffit à votre organisation de collaborer avec son partenaire de sécurité externe de confiance – Konica Minolta par exemple – qui vous aidera à comprendre les petits caractères et les modalités de votre police d’assurance. Il s’agit d’un moyen simple d’améliorer votre protection contre les cybermenaces.
Votre organisation est-elle prête à faire face à ce qui l’attend en 2024 et dans l’avenir?
Au fur et à mesure de sa transformation numérique, votre organisation devra probablement miser de plus en plus sur les services de TI gérés pour suivre le rythme.
Compte tenu des tendances dont nous venons de parler, les fournisseurs de services de TI gérés qui savent intégrer l’IA aux activités des entreprises seront en meilleure posture pour profiter proactivement des occasions, réagir à l’évolution des marchés et répondre efficacement à vos attentes.
À propos de fournisseurs de services de TI gérés fiables, saviez-vous que Konica Minolta possède une division des services de TI qui est réputée pour sa vaste gamme de services primés, ses programmes de sécurité et de conformité de premier ordre ainsi que son expertise technique de pointe? Maintenant, vous le savez!
Désormais, camarades chercheuses et chercheurs, vous possédez les connaissances qui feront de vous la référence pour les tendances de 2024 auprès de vos collègues. Profitez de l’année qui s’amorce pour accroître votre longueur d’avance sur la concurrence!
Et n’oubliez pas que les experts des TI de Konica Minolta sont à votre disposition en cas de besoin.
* En anglais seulement.